« Inabstrait » consisterait à évoluer librement entre le monde abstrait et le monde figuratif, entre le monde réel et le monde imaginaire,

pour créer une oeuvre, un écrit, une pensée, un acte, qui soit une « dérive »,

en effaçant, ajoutant, et décidant de ce qui est bon de laisser apparaître.

La forme comme point de départ. La liberté comme chemin. La beauté comme arrivée.

Le mot inabstrait est prononcé la 1ère fois par Hervé Malcom Thomas en 2013, pour définir sa peinture.
En 2019, c’est la rencontre avec Julien Cuny qui fonde le mouvement. Leur peinture est très proche. Ils décident de travailler de concert , libres en rassemblant leur créations sous un même nom « l’inabstraction ».
En 2021, ce sont alors Jean-Louis Tauvel, Eric Finance, Emmanuelle Henry, Sébastien Montag, Karine RB, Anouk Tisserand et Eric Delorme qui rejoignent le mouvement.
6 peintres, un poète, un vidéaste et un photographe se reconnaissent dans un mouvement artistique.
Ce sont les INABSTRAITS.

En 2023, Isabelle Gougenheim et Teo Bobenrieth, peintre et dessinateur,  rejoignent le mouvement.


Pour les inabstraits, il s’agit de proposer quelque chose de nouveau, qui s’abstrait du réel, et qui suggère le vivant.
Sortir des acquis, reformuler le regard.
Il s’agit de casser les liaisons et de les recombiner avec d’autres, pour créer de l’énergie.
Un souffle nouveau, pour libérer la pensée. La pensée est créatrice, elle peux générer plus d’énergie qu’elle n’en consomme.
Appliquer l’inabstraction au monde qui nous entoure,
c’est s’assurer un nouvel élan, global, éloigné de la pensée unique, vers l’esthétisme libre.
La forme comme point de départ. La liberté comme chemin. La beauté comme arrivée.

© inabstrait